George Orwell et la dystopie en anglais
En ce mois d’octobre où le froid commence à avancer et à l’approche d’Halloween, nous avons étudié les dystopies en anglais. Ces différents états du monde totalitaire ou post-apocalyptique imaginés par les auteurs relèvent tous de souffrances individuelles et d’injustices sociales. 1984 de George Orwell est considéré comme un des piliers du genre.
Mais c’est bien au chaud dans notre classe que nous avons abordé cette séquence. Un café littéraire en V.O. mené par Quentin, Luna, Timothée et Pierrick nous a présenté, avec beaucoup d’humour et un bon jeu d’acteurs, qui était George Orwell. Écrivain, journaliste, soldat dans la guerre civile en Espagne, de nombreux aspects de sa vie nous ont été dévoilés à travers cette double interview croisée. Cela nous a permis d’entrer dans la thématique avec une vision plus large pour la compréhension de ses œuvres et de son écriture.
Grâce à nos lectures estivales avant de démarrer l’anglais en HK, deux affiches ont vu le jour dans notre classe : une sur La ferme des animaux réalisée par Lou, Laura, Camille et Chiara et la seconde sur 1984, signée Kylian, Saphora et William. A travers les présentations orales en classe qui les agrémentaient, nous avons pu découvrir les thématiques de ces deux grands classiques et ce qu’en avaient tiré les élèves. Ces différentes présentations avaient pour but de nous aider à entrer dans le texte d’Orwell, que nous avons étudié de près à travers trois extraits des deux œuvres : une manière d’introduire l’épreuve du commentaire littéraire en anglais qui nous attend au concours.
Pour terminer cette séquence, une revue littéraire de Animal Farm par Mélanie, Yasmine, Constance et Pierre a été publiée en V.O. sur le site du lycée. On y retrouve un résumé et un avis sur le roman par de nouveaux points de vue.
Nous remercions les élèves qui ont fait avancer ces projets et notre professeur d’anglais madame Ryder, qui les leur a proposés.
Peut être réussiront-ils à vous donner envie de lire du George Orwell vous aussi ?
Coline MOREAU, étudiante en hypokhâgne